30.10.10
Pertes et fracas(2)
*
Du roulis à la pierre
De la marge au royaume
De l'errance au pôle
Du reflet au verbe
Des ruminations lunaires
Au silence radieux
Du chaos à la souveraineté
Du noir à l'or
De l'ivresse à la clarté
De l'exil à l'être
Des larmes à l'éclat
Des quatres vents à la rose cruciale
Il n'y a qu'une respiration à prendre;
Un tigre à chevaucher.
L'écran a brouillé la vue:le monde n'est pas visible
Pour l'instant
Tu presses le pas à t'alourdir
Arrache-toi.
Prend des couleurs,respire
Une bonne fois et danse:
Je suis le témoin d'un outre occident.
Toute aube flairée les guerriers aiguisés
Tranchent la brume
Les cavaliers de lumière déjà
Derrière la fumée de ma prière.
Le ciel ne peut que rougir
Soit ce miracle dansant,tu brûles
Dans la paix de l'éternel feu
Crépite ton or et coule moi.
Les armes déposées,vainqueur vaincu
Pleure alors à chaudes larmes.
Le bruit de la chute,son accélération
L'irrémédiable oubli,son écho tactil
Il faut s'attacher au ciel,mon ami
Et s'astreindre à naître.
Si le décor se flagelle et suinte
C'est un ventre qui oeuvre à ton expulsion:
Pousse-toi.
A déborder jusqu'à l'être,se perdre
Enfin renaître sur les dunes
Dans l'ardeur de la joie fondre
Sur l'oasis.
L'air du temps si son fond est froid
N'en sacre pas moins le printemps.
Scruter jusqu'à la transparence
Aimer c'est mourir aspiré
Tout est à redire,ce monde implore une bonne correction
Sans la musique il reste une erreur
L'homme à venir est sûr
Nous le comptons bien.
Dans les élongations du temps
A l'intime des déflagrations
Dans les béatitudes de sang
J'ai frôlé par essence l'apocalypse heureuse.
*
Du roulis à la pierre
De la marge au royaume
De l'errance au pôle
Du reflet au verbe
Des ruminations lunaires
Au silence radieux
Du chaos à la souveraineté
Du noir à l'or
De l'ivresse à la clarté
De l'exil à l'être
Des larmes à l'éclat
Des quatres vents à la rose cruciale
Il n'y a qu'une respiration à prendre;
Un tigre à chevaucher.
L'écran a brouillé la vue:le monde n'est pas visible
Pour l'instant
Tu presses le pas à t'alourdir
Arrache-toi.
Prend des couleurs,respire
Une bonne fois et danse:
Je suis le témoin d'un outre occident.
Toute aube flairée les guerriers aiguisés
Tranchent la brume
Les cavaliers de lumière déjà
Derrière la fumée de ma prière.
Le ciel ne peut que rougir
Soit ce miracle dansant,tu brûles
Dans la paix de l'éternel feu
Crépite ton or et coule moi.
Les armes déposées,vainqueur vaincu
Pleure alors à chaudes larmes.
Le bruit de la chute,son accélération
L'irrémédiable oubli,son écho tactil
Il faut s'attacher au ciel,mon ami
Et s'astreindre à naître.
Si le décor se flagelle et suinte
C'est un ventre qui oeuvre à ton expulsion:
Pousse-toi.
A déborder jusqu'à l'être,se perdre
Enfin renaître sur les dunes
Dans l'ardeur de la joie fondre
Sur l'oasis.
L'air du temps si son fond est froid
N'en sacre pas moins le printemps.
Scruter jusqu'à la transparence
Aimer c'est mourir aspiré
Tout est à redire,ce monde implore une bonne correction
Sans la musique il reste une erreur
L'homme à venir est sûr
Nous le comptons bien.
Dans les élongations du temps
A l'intime des déflagrations
Dans les béatitudes de sang
J'ai frôlé par essence l'apocalypse heureuse.
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