28.10.10
Oeuvre au noir
*
L'anarchie grave de l'enfance; le bond
Au dessus du mur, l'accident salvateur
Sous la bénédiction calme de la nature
L'impasse où murir
La nostalgie a Dieu pour locataire
Dans la sourdine des jours
Un râle furtif
Au plus froid du feu
La vie trop mûre passe
Aux aveux
Que faire sinon se fondre?
Un soleil plongeant
Dans les yeux d'avant le monde
Et les trompettes frissonnent
Le ciel étoile
Sa joie de feu
Sur le mystère germinal
L'esprit fond
En goutte séminale
Sur la terre humide
Le vif de nos écorchures
S'est fondu à la larme
Là où le corps s'alarme
Je pressens de fines fleurs
Pour ma mise en terre
Allons nous renaître ensemble
Au vert clignotant du printemps
Et ce malgré la claque des vents
Dans la remise des marées oui
Les mots cruels sur le champ d'amour
Parmi les milles flammes,nos mains
De secours en appellent à la fin
D'avant le drame et tant
Que nous ne verrons pas le jour.
*
L'anarchie grave de l'enfance; le bond
Au dessus du mur, l'accident salvateur
Sous la bénédiction calme de la nature
L'impasse où murir
La nostalgie a Dieu pour locataire
Dans la sourdine des jours
Un râle furtif
Au plus froid du feu
La vie trop mûre passe
Aux aveux
Que faire sinon se fondre?
Un soleil plongeant
Dans les yeux d'avant le monde
Et les trompettes frissonnent
Le ciel étoile
Sa joie de feu
Sur le mystère germinal
L'esprit fond
En goutte séminale
Sur la terre humide
Le vif de nos écorchures
S'est fondu à la larme
Là où le corps s'alarme
Je pressens de fines fleurs
Pour ma mise en terre
Allons nous renaître ensemble
Au vert clignotant du printemps
Et ce malgré la claque des vents
Dans la remise des marées oui
Les mots cruels sur le champ d'amour
Parmi les milles flammes,nos mains
De secours en appellent à la fin
D'avant le drame et tant
Que nous ne verrons pas le jour.
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