27.10.10
Aux guetteurs rares
*
Quand la joie s'en vas
Elle vous laisse en cendres
Au glacis du matin
Il faut rallumer le feu
Et attendre
La planque du soleil dans le clos de L'impasse
Le Seul à veiller une connaissance lasse
Alambiquer encore de pures essences
Pour les rares guetteurs
La vie, son oeuvre offerte
C'est l'évidence même
Du premier matin
Sous les feuilles mortes
Sa joie revenue
Par la grâce de la mort
Ce que j'en dis
C'est l'ordre intime
Que le silence comforte
L'hiver sa fleur glacée
Dans le champ aux ruines
Le charme qui s'en échappe
C'est un sang d'encre
Qu'il faudra couler
La vie frappe aux ventres.
*
Quand la joie s'en vas
Elle vous laisse en cendres
Au glacis du matin
Il faut rallumer le feu
Et attendre
La planque du soleil dans le clos de L'impasse
Le Seul à veiller une connaissance lasse
Alambiquer encore de pures essences
Pour les rares guetteurs
La vie, son oeuvre offerte
C'est l'évidence même
Du premier matin
Sous les feuilles mortes
Sa joie revenue
Par la grâce de la mort
Ce que j'en dis
C'est l'ordre intime
Que le silence comforte
L'hiver sa fleur glacée
Dans le champ aux ruines
Le charme qui s'en échappe
C'est un sang d'encre
Qu'il faudra couler
La vie frappe aux ventres.
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