15.10.11
Automne Deux mille onze
*
La fraîcheur de la nuit
Ne peut étreindre
La lumière qui nous lie
La mort à jamais obscure
Ne saurait contraindre
l'élan de joie pure
déchirer l'image qui vous happe
Et survoler la déroute
La faille par où l'esprit s'échappe
Est sans doute
Enfant terne d'occident
Il faut quitter la mesure
Et fils de l'instant
Filer droit dans l'azur
A l'heure du dernier avertissement
Nous dansons dans l'imaginal.
*
La fraîcheur de la nuit
Ne peut étreindre
La lumière qui nous lie
La mort à jamais obscure
Ne saurait contraindre
l'élan de joie pure
déchirer l'image qui vous happe
Et survoler la déroute
La faille par où l'esprit s'échappe
Est sans doute
Enfant terne d'occident
Il faut quitter la mesure
Et fils de l'instant
Filer droit dans l'azur
A l'heure du dernier avertissement
Nous dansons dans l'imaginal.
*
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