10.11.10
Suffocation
*
Encore enfoncés dans le feu de la nuit
Nous venons suspendre la tragédie est-ce
Novembre dans ton coeur incendié
Où mirage final des temps comptés
L'olivier tremble de nous savoir pleurer.
C'est l'étè l'inspiration du ciel
Lance ses appels dans l'opacité
A l'essence des mots emportés
Nos coeur chancellent il faut chanter
Jusqu'à la fleur des fusils.
Et par le monde méchant légers
Dans le différé des passages filons
A travers les sables déchaussés
Et jusqu'au vent de la mélopée voler
Avec la colombe des fourrés.
Mon amour nous buvons
Les larmes proches de l'orient
Souviens-toi l'étoile blanchie
Vas fleurir encore et noble remourir
D'amour et brûlante courtoisie.
*
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire