14.11.10
Fragments d'évidence
*
Puisque la ville ment
Jusqu'à me perdre dans
Le nez en l'air de rien
Au tapage apaisé des enluminures nocturnes
Corriger ses fautes
Nos destinées poétiques
Entre les pentes et les hics
Le coeur à pierre fendre
Terrassé au monde
Sous la caresse du sable
Jusqu'à l'incandescence
L'étoile brûle de nous attendre
Dans le roulis je n'ai
De filet que Dieu
Et du mal à m'en remettre
Un parmi ce qui est
Nous dansons au rythme
Secret des planètes
J'écris pour les bateleurs à venir
Et l'honneur qui se doit
L'âme en peine aussi je m'ébats
La tête dans les limbes de l'ici bas
Jusqu'aux racines de l'au delà
Il n'y a rien qu'un gouffre d'amour
Entre toit et soie
Pour y jeter nos scories
Afin que demeure la joie
Le courage d'être
O vers les architectures intimes
S'accorder au souffle
Et demander asile
Ecrire de là où ça tremble
Crépite l'outre feu danse
Dans le tout cuit des évidences
C'est cache cache goupil
Chez les chiens croque misère
Hibou se taire
Avant le trop du mot hou hou
Elever la voix jusqu'à l'être
Rester l'inssaisissable cancre
Aux deux ailes et voyelles
Aime et tais
Nos âmes enfin fusent
Pas ici dans votre coeur
Nulle part et ailleurs partout
Là haut la tête en bas
Entre ciel et bras
Fier encore égaré
Dans l'infinini
Voleur de velours muet
Sur terre parmi
La vie lancée
A Dieu vas
L'éclair et le vent
Sans faillir éclaté rire
Quant à soi mourir.
*
Puisque la ville ment
Jusqu'à me perdre dans
Le nez en l'air de rien
Au tapage apaisé des enluminures nocturnes
Corriger ses fautes
Nos destinées poétiques
Entre les pentes et les hics
Le coeur à pierre fendre
Terrassé au monde
Sous la caresse du sable
Jusqu'à l'incandescence
L'étoile brûle de nous attendre
Dans le roulis je n'ai
De filet que Dieu
Et du mal à m'en remettre
Un parmi ce qui est
Nous dansons au rythme
Secret des planètes
J'écris pour les bateleurs à venir
Et l'honneur qui se doit
L'âme en peine aussi je m'ébats
La tête dans les limbes de l'ici bas
Jusqu'aux racines de l'au delà
Il n'y a rien qu'un gouffre d'amour
Entre toit et soie
Pour y jeter nos scories
Afin que demeure la joie
Le courage d'être
O vers les architectures intimes
S'accorder au souffle
Et demander asile
Ecrire de là où ça tremble
Crépite l'outre feu danse
Dans le tout cuit des évidences
C'est cache cache goupil
Chez les chiens croque misère
Hibou se taire
Avant le trop du mot hou hou
Elever la voix jusqu'à l'être
Rester l'inssaisissable cancre
Aux deux ailes et voyelles
Aime et tais
Nos âmes enfin fusent
Pas ici dans votre coeur
Nulle part et ailleurs partout
Là haut la tête en bas
Entre ciel et bras
Fier encore égaré
Dans l'infinini
Voleur de velours muet
Sur terre parmi
La vie lancée
A Dieu vas
L'éclair et le vent
Sans faillir éclaté rire
Quant à soi mourir.
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